• Aujourd'hui, Elke Nissen et Charlotte Dejean-Thircuir ont présenté les variables de la télécollaboration dont j'ai réalisé une carte heuristique (ma première, soyez indulgents).
    En ce qui concerne, les tâches, on peut trouver des bases de données (quelques idées :-) sur les plateformes Unicollaboration et Etwinning.

     

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  • Dans cette première vidéo, de cette deuxième semaine, François Mangenot nous présente la télécollaboration. Avant d’aller plus en avant, une professeure lettone résume les avantages de la télécollaboration qui crée de nouvelles opportunités de pratiquer la langue étrangère, permet des échanges authentiques et, enfin, de vivre la langue.

    François Mangenot cite quatre auteurs qui ont permis de circonscrire ce concept :
    * Warshauer M. (1995) s’est référé, le premier, aux virtual connections.
    * Debyser F. (1989) avait initié, grâce à la télématique et pour l’enseignement du français, des échanges synchrones via le minitel.
    *Julie Belz (2003) définit la télécollaboration qui « se caractérise par une communication interculturelle institutionnalisée, utilisant les moyens informatiques, guidée par un expert en langues/cultures (c'est-à-dire un enseignant) avec pour objectif l’apprentissage des langues et le développement de la compétence interculturelle ».
    *Robert O’Dowd souligne une dimension institutionnelle par l’idée de classes qui travaillent ensemble. Il formule l’expression « Online intercultural exchange ».

    2 projets importants sont mentionnés :
       1-Tandem (principe repris dans Busuu et livemocha) => dispositif autonomisant ayant des limites (compétences enseignantes / sujets pour échanger) ;

       2-Cultura, projet institutionnalisé, favorise l’interculturalité et l’expression en LM. Car comme le soulignent Furstenberg et English : « s’exprimer dans sa langue est la seule façon pour aller jusqu’au bout de sa pensée. »

    Pour conclure, deux plateformes sont citées Etwinning, pour le primaire et le secondaire, qui offre un espace sécurisé, et Unicollaboration qui s’adresse à des étudiants universitaires.

    Comme la semaine précédente, cette deuxième semaine d’apprentissage sur le MOOC s’annonce intéressante. Les propos de Furstenberg et English énoncés, m’ont rappelé ceux d’Alain Rey :
    « Je suis absolument affolé quand je vois des Français, des Italiens et des Espagnols, trois langues romanes, qui se croient obligés, ou qui se sentent obligés, ou qui peut-être sont obligés, ça dépend des cas, de parler anglais pour se comprendre. C’est un paradoxe et c’est une sorte de perte de personnalité. Les scientifiques le savent très bien parce que quand on est obligé de s’exprimer dans une langue étrangère, on perd une partie de son pouvoir quant au contenu de ce qu’on transmet. »
    Ces propos sont extraits de l’émission 3D de France Inter du dimanche 19 janvier 2014, 13h52, je les ai découvert, grâce à Jean-Pierre Chavagne, présent sur le stand de la DGLFLF, à Expolangues, cette année. Il m’avait également fait découvrir les sites lingalog.net et miriadi.net qui sont d’ailleurs en relation avec notre sujet.

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  • Cette 2ème semaine fut dédiée à la présentation des formations hybrides en langues (FHL).
    Elke Nissen nous les présente par le biais de 3 vidéos intitulées :
    -Qu’est-ce que la FHL et pourquoi en faire ?
    -4 exemples de FHL
    -Comment articuler présentiel et distanciel.

    Ces vidéos courtes sont très explicites et riches d’informations. Leurs transcriptions sont communiquées en parallèle de la vidéo et sous format PDF.

    En les visionnant, nous devons redoubler d’attention afin de pouvoir répondre au quizz de fin de semaine. Les participants doivent également participer à plusieurs forums pour partager leurs ressentis.

    En ce qui concerne la FHL, le suivi de la conférence relative à la mise en place d’un cours hybride en FLE de l’AFPIF m’avait déjà donné une petite idée de ce que cela pouvait être. De plus, pour mon UE de Littératures Francophones du M1, l’écriture d’un scénario pédagogique pour une formation hybride m’avait conduite à m’interroger sur l’articulation présentiel/distanciel.
    Néanmoins, le suivi de ce MOOC a permis de formaliser mes connaissances.

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  • Cette formation est dispensée par les ENS de Cachan et de Lyon, et l'université de Grenoble 3.

    François Mangenot est un des professeurs de cette formation. J'avais eu le plaisir d'assister à une conférence à laquelle il était invité à Expolangues, en 2013, année où les TICE étaient à l’honneur, conférence dont un compte rendu a été communiqué sur la BND:  Donner du Sens à l'enseignement du Fle. Il avait, alors, formulé une idée que je partage depuis longtemps: l'enseignement via les TICE s’adresse qu’à une minorité, à des personnes éduquées et dotées de moyens.

    Les cours de ce MOOC s’articuleront autour des thèmes suivants :
    -les formations hybrides en langues ;
    -la télécollaboration ;
    -les outils de l’intercompréhension ;
    -l’exploitation du web social.

    Ce MOOC est l’occasion de suivre une formation sous un format novateur et ce en relation avec mon champ d’étude et mon M2.

    La première semaine a été consacrée à la découverte de la plateforme et aux présentations. Je suis heureuse de retrouver plusieurs copains inscrits : Murielle, Lyane, Monia, Erwann et Jesus (que je n’ai, ceci dit, pas encore croisé sur la plateforme mais la masse d’inscrits, 4000, explique peut-être la chose).

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